T’as peut-être remarqué toi aussi qu’un nouveau mouvement fait des ravages dans l’éducation de la prochaine génération. La parentalité positive. Et je ne te parle pas ici de la vraie pédagogie derrière la parentalité positive. Non, celle-là, je la supporte totalement.
Lire la suitesauf qu’une grande croyance répandue semble croire que la parentalité positive, c’est dire oui à tout, à tout prix. Éviter le “non” !
Je t’avoue que mon malaise ici était trop grand : et partagé avec mon conjoint.
Un vieillard qui voit tout ce qui se passe de là-haut et décide qui est gentil et qui est méchant.
Déjà, si tu me suis un peu, tu sais qu’avec moi, tout est nuancé. Il n’y a pas de blanc et noir. Donc un enfant ne peut pas être gentil ou méchant.
Puis d’ailleurs, c’est un enfant!! Un enfant est en apprentissage de régulation de ses émotions et de ses réactions.
Donc, comment on juge si le Père Noël passera cette année basé sur cette réflexion?
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Quand je le fais, je me rend compte que plusieurs ciblent mal les meilleurs moments pour les meilleures interventions.
Parfois, on a donc l’impression soit d’être trop sévère, ou on perd le contrôle parce qu’on ne l’a pas été suffisamment. La Croix-Rouge Canadienne, dans son manuel de Gardiens Avertis, a répertorié 4 types d’interventions que j’apprécie particulièrement. Je vous les explique donc.
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